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30 janvier 2020

Doivent, allez-donc savoir, bien rigoler
 (Exmed)

   Rien ne prouve scientifiquement que les virus à ARN - comme le 2019-CoV- sont dépourvus de conscience. Si ce n’est pas le cas, les conséquences géopolitiques mondiales de leur habile stratégie pour continuer leur travail d’adaptation peuvent les époustouffler. La maladie contagieuse promue au rang de donnée politique de tout premier ordre dans les enjeux mondiaux de la planète. Les forces médicales sanctuarisées pour protéger le pouvoir économique prioritaire.  Digne d’un  scénario de science fiction.

Ah, on l’oubliait, en France, nous avons notre grippe saisonnière bien à nous. Si, si, si. On lui attribue même à ce jour 22 morts. Simple rappel, la grippe est rendue responsable par les autorités d'environ 10 000 morts par an en France.


François-Marie Michaut,

31 janvier- 2 février 2020

28 janvier 2020

Et à Madagascar (Exmed)

  Avec le coronavirus du moment, nous ne voyons plus rien d’autre.
 
Exmed  veut ouvrir l’horizon :
- Madagascar, la beauté et la misère Jacques Blais 
- Le docteur Antoine Marie Ramarlah LEM 775, 2012 FMM

   Bien noter, selon l’OMS, un taux terrifiant de malnutrition infantile jusqu’à 5ans évalué à 47%, une épidémie de peste avec 2349 cas en 2017 et 202  décès déclarés, et en 2019 une épidémie de rougeole touchant 19 539 personnes, cela ne mérite pas s’être connu par l’opinion mondiale pour agir juste ?


François-Marie Michaut,

29-30 janvier 2020

26 janvier 2020

Doutons à fond (LEM 1155)



    Un personnage douteux n’attire pas la sympathie des foules. Pas plus que des manoeuvres douteuses n’incitent à la confiance. Et, par décence, laissons de côté ce que peut ressentir un soignant devant les preuves objectives de l’hygiène défaillante du patient dont il a la charge. Le doute, un sentiment bien peu agréable quand périt, à tort ou à raison, la confiance en quelqu’un ou en quelque chose.
Alors faudrait-il jeter à la corbeille à papier ce qui tue la confiance, ce ciment indispensable à tous les échanges humains ? De grands panneaux publicitaires un peu partout : ici il est interdit de douter. Et pourquoi pas des lois contraignantes  pour une société se voulant parfaite?

    Nos prédécesseurs, faute de trouver des arguments dans les Saintes Ecritures qu’ils fréquentaient, convoquaient facilement à la barre les antiques. Faute d’Hippocrate contentons-nous de son complice Aristote : « Le doute est le commencement de la sagesse» . La piste du doute comme une méthode pour, restons modestes, progresser vers un plus de sagesse, ce n’est pas sans intérêt. Le je sais que je pense parce que je constate que mon esprit est capable de douter de René Descartes dans les prémices de son Discours de la méthode est à prendre en considération.

   Il  est superflu dans ces lignes de faire l’apologie de l’extraordinaire productivité du mouvement scientifique mondial qui s’est inspiré de la méthode cartésienne depuis le XVIIème siècle. Toute découverte scientifique, toute amélioration de ses applications techniques n’ont qu’un détonateur unique. La mise en cause de ce que pensions exact auparavant. La fin rituelle de toutes les publications scientifiques le proclament. Des études complémentaires doivent être réalisées pour affiner et confirmer ce qui vient d’être prouvé par les chercheurs. La pensée scientifique l’exige autant que l’intérêt personnel des chercheurs. C’est sa justification sociale même qui est en jeu : une recherche infinie de nouvelles connaissances.

   Hélas, la pensée scientifique se heurte à une frontière absolue que lui impose sa méthode. Elle est incapable de franchir la limite qu’elle s’impose. Pour résumer : ne peut être scientifiquement admis que ce qui est scientifiquement, donc expérimentalement, étudiable et prouvable. Cela suppose un dogme (1). La seule réalité possiblement accessible à nos cerveaux est celle que peut étudier la science.
Ce parcage de la pensée nous contraignant dans un univers mental de déterminisme matérialiste est heureusement mis en question par de solides esprits scientifiques (2).
    Si savoir douter est une nécessité pour que se fasse le travail de la connaissance scientifique, personne normalement informé ne peut le contester. Est-il alors logiquement défendable que toute forme de connaissance humainement accessible doive demeurer cantonnée dans les limites de ce que le physicien Philippe Guillemant (3) nomme « le parc de la pensée» ?  La sagesse, comme l’esprit, l’inventivité ou le talent, sont-ils des grandeurs scientifiques mesurables ? Devons-nous, pour autant, les considérer comme quantités négligeables ?


 Notes :

(1) Dogme : 1.Principe établi, enseignement reçu et servant de règle de croyance, de fondement à une doctrine. 2. Ensemble des articles de foi d’une religion. Dictionnaire Hachette

(2) P.Guillemant, Le pic de l’esprit (Trédaniel 1917) Chapitre 1, les ruines de l’âme p.37-59

(3) P.Guillemant, La route du temps ( Le temps présent 2014), P.Guillemant, J.Morisson, La physique de la conscience, (Trédaniel 2016).




                                                         François-Marie Michaut


Os court :

« Comment peut-on identifier un doute avec certitude ? »

Raymond Devos


Lettre d'Expression médicale


LEM n° 1155  

Doutons à fond
   

27 janvier 2020
                                                                
                                   

Questions de fond
 (Exmed)

   Tant pis si nous quittons un instant les méandres des événements d’un réel qui ne cesse de nous parler, jusque par l’intermédiaire du fantaisiste coronavirus asiatique. 
  

  Une fois encore, répondre à des questions par des questions se montre une démarche fertile. Voici : Doutons à fond, la LEM 1155.

  
Bonne lecture et stimulantes interrogations.

François-Marie Michaut,

27-28 janvier 2020

21 janvier 2020

Ah, ces maladies inconnues (Exmed)

    Panique à bord, grandes manoeuvres médiatiques, tremblez, braves gens. Du fond de l’Asie se pointe une nouvelle pneumopathie virale humaine . Le macabre compteur à morts se met en route. Rien de bien surprenant pour les médecins, que cette nouvelle preuve des capacités d’adaptabilité de ces si mal connus virus.

   Nous saurons trouver des parades, aucune raison d’en douter. Pas de précipitation, ne nous laissons pas actionner par notre peur immémoriale des épidémies tueuses. C’est probablement, principe de précaution en guise de bouclier, le plus redoutable de cette actualité. Les volailles sacrifiées systématiquement au nom de la grippe aviaire nous le disent.

François-Marie Michaut,

22-23 janvier 2020

19 janvier 2020

Neutraliser les mots qui tuent (Exmed)

   Les effets destructeurs immédiats de nos petites machines à diffuser sans frontière et sans aucun filtre ce qui passe par nos têtes nous sautent à la figure. L’actualité nationale est devenue le haut parleur de ces appels à la haine.
  

   Les mots peuvent faire tuer, les mêmes mots utilisés autrement peuvent aider à vivre et à se sentir moins malheureux. Jacques Grieu, dans sa LEM 1154 au titre intrigant de FILLE À RETORDRE  FILE à FILLE en fait une lumineuse démonstration.


François-Marie Michaut,

20-21 janvier 2020

FILLE À RETORDRE - FILE à FILE (LEM 1154)


Si fins que soient les fils, il sont fort importants
Et tiennent dans nos vies des rôles éminents.
Quand de fil en aiguille, on cherche dans nos mots
On mêle fils et filles en curieux quiproquos.


On a les fils d’Ariane, et le fil barbelé,
Aussi le fil à plomb et le fil de l’épée,
Et le fil à la patte ou à couper le beurre
Et le fil de la vie coulant au fil des heures…


Si la fille du ciel est l’abeille affairée,
Les filles du printemps sont des fleurs parfumées...
Si les fils de la Vierge émanent d’araignées,
Garage en double file est faute sanctionnée.


Bien du fil à retordre entrave nos réformes
Qui, au fil des manifs, se scindent et se déforment.
La file des râleurs s’agite dans le vent
Mais ses faux objectifs sont cousus de fils blancs.


Le plus beau cerf-volant, au ciel a beau monter,
Il reste asservi au fil qui l’a créé….
C’est quand la vie ne tient qu’à un fil si fragile
Qu’on sent que sa pelote est un bien si utile.


Dans les rues de Bombay, la peur est parfois reine :
Des femmes y croise-t-on marchant en file indienne ?
De qui, la vieille fille, est-elle donc la veuve ?
Mais du célibataire, on en voit bien la preuve !


On peut bien renouer le fil qui est cassé,
Mais toujours, au milieu, un noeud sera resté.
La vérité, dit-on, est la fille du temps ;
Mais qui serait le père ? Est-ce celui qui ment ?


Dans ma tête, les filles, en mélangeant les fils,
Avec leurs digressions m’ont fait perdre le fil...
Mon fil rouge est rompu et sa trame dénouée,
Et c’est au fil de l’eau que voguent mes idées.


Pour calmer la tempête, il faut filer de l’huile ;
Il vaut mieux que j’arrête et rentre à domicile…
C’est la fille de l’air ma bonne solution;
Je coupe ici le fil de toute discussion !

                      Jacques Grieu
 

 

Os court :

«   Filles, voyez l’épi de blé : quand il est beau, il baisse le nez. »


Michel de Montaigne (1580)


Lettre d'Expression médicale

LEM n° 1154   

20 janvier 2020
                                 

16 janvier 2020

Prions (Exmed)


   L’encéphalite spongiforme bovine, plus connue sous le nom de maladie de la vache folle a fait trembler les foules et exterminer des troupeaux entiers dans les années 1990. Le prion, agent infectieux très mystérieux, ni bactérien, ni viral, responsable de la redoutable et fatale maladie humaine de Creutzfeld-Jacob, n’a pas disparu. Le temps a passé et nos mémoires ont oublié. La recherche sur les maladies à prions semble être passée aux oubliettes avec l’interdiction de l’usage des farines animales.

   Et pourtant en Amérique du Nord comme en Finlande et en Norvège, les cervidés sont touchés par une maladie à prions entrainant leur dépérissement chronique (Source Lemonde.fr 16 janvier 2020, Vincent Béringue INRA).
Ne jamais sous estimer l’adaptabilité du réel est peut-être sage.


François-Marie Michaut,

17-19 janvier 2020

14 janvier 2020

Museler professeurs et médecins
 (Exmed)

  Ils se sentent mis sous tutelle administrative laminante les uns et les autres. Le savoir qu’ils ont acquis après de longues et sélectives études ne semble plus présenter aucune valeur pour diriger leur propre métier. Ce mépris de la valeur des hommes de connaissance, si répandu dans toute la société et ses échanges numériques, est destructeur pour la collectivité toute entière. 


  Faut-il créer, comme pour nos amies les bêtes, une société protectrice des intellectuels ? Mais, mille excuses, le terme même d’intello est devenu une insulte.


François-Marie Michaut,

15-16 janvier 2020

12 janvier 2020

Systémique de la haine (LEM 1153)

                    
                               
   Les propos diffusés sur les plateformes numériques, confortés par les images publiées avec complaisance sur nos écrans en témoignent. Les manifestations de haine, jusqu’aux plus extrêmes, tiennent le haut du pavé des expressions de nos pensées (1). Faisons ici le choix, en fait habituel aux médecins dans leur travail, de laisser de côté la valeur morale ou immorale, bonne ou mauvaise d’un tel sentiment.
   Dans la LEM 1013 du 1er mai 2017 ( L’arme de la haine ), j’avais proposé une première approche. Une lecture récente m’a bouleversé, en commençant par la puissance de son titre : « Vous n’aurez pas ma haine
» (2).
      Telle une maladie infectieuse, la haine présente un fort potentiel de contagiosité. La célèbre vendetta méditerranéenne  et balkanique transmise de génération en génération le traduit bien.
   Nous voici au coeur du problème : une boucle circulaire. La haine manifestée génère la violence, la violence génère la vengeance et la vengeance fait le lit de la haine (3).
   Chaque humain, durant sa vie, se sent victime des façons de faire ou d’être d’autrui. Notre tendance bien naturelle est de nous recroqueviller dans une position de victime. D’abord en tentant de faire reconnaitre le plus largement possible autour de nous que notre souffrance n’a qu’une source : la haine qui nous a été manifestée. C’est de la faute de l’autre si ma vie est fichue, moi je n’y suis pour rien. C’est une réalité bien décrite par le psychiatre Paul Watzlawik (4)
      Pas de solution en vue autre qu’une escalade conduisant à la destruction de la fragile branche Homo Sapiens Sapiens sur laquel nous sommes assis. Pas le moindre fil d’Ariane pour sortir de ce cercle mortifère ? Au fil de mes lectures, je suis tombé sur un petit livre étonnant (5). Voici le titre de son chapître 6 : Pourquoi le pardon est-il (hélas) l’unique solution ?



Faire aussi longtemps que possible l’effort de ne plus avoir uniquement en tête la souffrance qui nous a été infligée. Autrement dit ne pas répondre en s’enfermant soi-même dans une sorte de «contre-haine».
Pas pour être bon, ou vouloir passer pour tel, ce qui est mission impossible mais par égoïsme pur et dur. Oui, pour se protéger soi-même. Mais de qui ? Le psychiatre américain cité plus haut le révèle lumineusement : de soi-même.

 Comment y parvenir ? Pas de coaching miraculeux, de recettes extérieures toute faites , de neuromédiateur à bricoler, juste un cheminement personnel à découvrir et à cultiver avec ce que la vie veut bien nous permettre de rencontrer sur notre route. Lisez la fin de son livre et vous comprendrez que pour notre romancier new-yorkais ce fut ... l’apprentissage du patin à glace au Québec.

  À l’isssue de ces quelques lignes, le lecteur est en droit de se demander si cela le concerne de façon pratique, dans sa vie personnelle comme dans son activité professionnelle. Sans hésitation, je pense que oui. La haine se comporte comme un redoutable agent d’autodestruction pour toute personne ( «responsable», «complice», «victime») prise dans son engrenage. On est bien dans une question de santé insoluble dans aucun système d’intelligence artificielle.

    François-Marie Michaut, 13 janvier 2020

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Notes :



(1) Ce qui ne veut pas dire que rien d’autre ne s’y exprime !


(2) Michel Leiris

(3) Cf la notion de prix du sang, la diyya dans la Charia islamique. Prévu également pour, enfin totalement contre, les femmes qui avortent.


(4) « Faites  vous-même votre malheur» Seuil 1984, où « comment faire de soi-même son pire ennemi ?» P. Watzlawik


(5) Douglas Kennedy, Toutes ces grandes questions sans réponse, Traduit par Bernard Cohen,Belfond 2016 édition Pocket 2017.

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Os court :
« En opposant la haine à la haine, on ne fait que la répandre, en surface comme en profondeur. »
  
Gandhi


Lettre d'Expression médicale 1153

Champion du plus mal être (Exmed)

   
Il nous est tellement vendu de recettes pour assurer notre santé, notre sécurité, notre Bien-Etre, qu’il est temps de regarder avec attention ce qui est le plus destructeur de nos existences. 
 
  La LEM 1153 vous convie à sa Systémique de la haine.

Bonne lecture aux curieux.


François-Marie Michaut,
13-14 janvier 2020

09 janvier 2020

Arrêt de travail thérapeutique (Exmed)

   
En Allemagne comme en France, un site Internet fournit à qui veut, et sans aucune justification, des arrêts de travail de un à trois jours.
   Aurions-nous perdu de vue que les médecins ont besoin pour soigner les malades d’autre chose que de médicaments, d’examens complémentaires, d’hospitalisations et de chirurgie ?

  Que leur instrument le plus important est de l’ordre de l’échange avec l’autre en difficulté ?

 Et enfin que prescrire un arrêt de travail, au même titre que des conseils de vie, est un acte thérapeutique à part entière dont le médecin traitant est l’unique responsable ?

François-Marie Michaut,


10-12 janvier 2020

08 janvier 2020

Invisible visiteur d'Exmed

 Ce blog "Systémique médicale" est réalisé depuis des années de façon individuelle et indépendante de toute source de pression ou d'intérêt à partir des publications de mon site Expression Médicale.

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         François-Marie Michaut

07 janvier 2020

Où sont les «Je suis Charlie» ? (Exmed)

   
Cinq ans après les terribles massacres terroristes parisiens que reste-t-il de l’immense émotion populaire de ceux qui ont affiché « Je suis Charlie» ?
 Qu’ai-je fait dans ma petite sphère, moi qui ai manifesté sous le coup de l’émotion, pour que progresse la liberté de penser, de croire et de s’exprimer ?
  Oublié un certain Charlie, de son nom Chaplin, qui nous laissa en 1936 le splendide film muet : Les temps modernes ?


François-Marie Michaut,

8-9 janvier 2020

05 janvier 2020

CAPITAL (LEM 1152)

                               CAPITAL
                      
                            
Quel est le capital qui rapporte le plus ?
Cela dépend des gens et de tout leur vécu !
Flatterie coûte peu mais est fort bénéfique ;
Un capital d’artiste est, bien sûr, son public…

« C’est un beau capital que celui de la vie »
Disent les optimistes avec philosophie :
Les plaisirs et les joies en sont les intérêts ;
Leur taux est relatif à l’âge et la santé.

Le boni est aussi celui de beaux projets :
Il leur faut le talent pour porter intérêt.
Le beau est relatif aux intérêts, aux mœurs ;
La raison connaît mal les intérêts des cœurs.

Un « centre d’intérêt » est parfois excentré
Et résulte souvent d’un grand nombre de prêts.
Qu’il soit près, qu’il soit loin, n’est pas fondamental
Mais plutôt son montant qui est, lui, capital !

L’intérêt est tenace et court même la nuit :
Rien ne peut l’arrêter quand sa route, il poursuit.
Intérêt, capital, la dette les mélange,
Mais aux remboursements ne peut donner le change…

Pourquoi, en politique, un parti « modéré »
Avec modération, suit-il nos intérêts ?
Même si, les partis, ce n’est plus capital,
Qu’on s’occupe de nous, reste le principal.

L’affreux capitalisme est « une exploitation » ;
Et « de l’homme par l’homme », aux yeux des trublions.
Pour le syndicalisme, autre définition :
C’est juste le contraire, il faut faire inversion !

Des péchés capitaux, quel est le principal ?
Son nom est… capital pour qu’on sache le mal.
Le mariage est-il bien décompté dans les sept ?
Auprès de nos conjoints, il faudrait qu’on enquête…

Rien n’est plus dangereux quand l’orgueil est blessé
Ses effets sont plus forts qu’à l’intérêt lésé.
On sait tous où se tient son meilleur intérêt :
Pourquoi ne suit-on pas ce qu’on s’est conseillé ?

Ceux qui sont des athées et tous les non-croyants,
Savent-ils qu’ils excluent un atout évident
Et que leur impiété leur jette un dernier sort ?
Ils ne toucheront pas l’intérêt de la mort !

            Jacques Grieu  


Os court :

« Le véritable et authentique athée est celui qui croit fermement et dur comme fer que Dieu lui-même ne croit pas en Lui. » 

Pierre Dac


Lettre d'Expression médicale


LEM n° 1152
    6-7 janvier 2020
https://www.exmed.org/archives20/circu1152.html

   

Bille en tête (Exmed)

  Ainsi dame Nature, le plus souvent, nous fait venir au monde. Pas de phrase ou de patronyme ne commençant pas par une lettre capitale.

La LEM inaugurant 2020 se doit de se nommer : CAPITAL.


À consommer sans modération, ce cadeau d’étrennes de Jacques Grieu.

François-Marie Michaut,

6-7 janvier 2020

02 janvier 2020

4000 pour 1,3 milliard d’humains
 (Exmed)


   Ils sont 4 000 psychiatres et psychologues en exercice pour soigner 1,3 milliard d’Indiens. La prévalence des affections psychiatriques étant évaluée à 14% de la population, la  carence est à nos yeux vertigineuse. Trou d’air dans la formation universitaire toute britannique qu’il faut colmater d’urgence.

  L’université de Bénarès propose aux carabins un module de six mois pour faire face aux patients se sentant «envoutés». Pour nous, psychotiques. Source : Courrier International du 27 décembre 2019.Les techniques enseignées sont celles de la  médecine ayurvédique inventée il y a 5 000 ans.
   Notre psychiatrie occidentale deviendrait-elle inutilisable dans d’autres cultures que la notre ?

   Les fondements scientifiques de la médecine mondiale en tremblent.

François-Marie Michaut,

3-5 janvier 2020

CONTRE NATURE  NATURELLEMENT                                 La nature, il paraît, aurait horreur du… vice, S’opposant, «  par nature »,  à ...