Ainsi parlaient au siècle dernier ceux qu’on nommait, sans état d’âme, les mendiants en tendant la main à la sortie de la messe du dimanche. La charité s’est déchristianisée, mais n’a pas péri. Des associations puissantes ont vu le jour pour porter secours aux grandes causes publiques négligées par les états.
La générosité du public pour contraindre le pouvoir politique à soutenir enfin la recherche. Bonne idée tant que le pouvoir ne fait pas la sourde oreille pour assurer sa mission. Sinon ? Les donateurs finissent par ne plus donner. C’est aussi humain qu’irreversible.
François-Marie Michaut
Exmed 6-7 février 2019
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