Les nains du vivant, c’est nous. La masse de carbone de nos cellules, indicateur de la biomasse planétaire, est formelle.
Selon Gary Dagorn ( Le Monde.fr du 21 décembre 2018 , , homo sapiens, est de loin, avec son 0,011% le dernier du classement. Loin derrière les plantes (81,97%), les malfamées bactéries (12,75%), les inquiétants champignons (2,19%) et mêmes les redoutés virus (0,04%).
De quoi dégonfler l’image que nous avons de notre importance planétaire. Sauf en matière de capacité de destruction du vivant où nous sommes les dominants absolus. Oui, là, nous les nains, sommes au plus haut. Progrès considérable pour notre survie : nous commençons juste à en avoir pleine conscience.
François-Marie Michaut,
CO d’Exmed 27-30 décembre 2018
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