L’immersion dans un océan de documents ou de commentaires dont les auteurs demeurent masqués est notre lot quotidien. Conserver son esprit critique - dans la mesure où en a eu un un jour - est un exercice difficile. Nos cerveaux fonctionnent curieusement. Moins nous savons de choses, plus nous avons la conviction de posséder des certitudes d’acier. Plus nous avons le privilège d’aller plus loin dans la connaissance, plus nous avons conscience de l’étendue de nos ignorances.
La propulsion à jets numériques continus de bobards pose un vrai problème de civilisation. L’histoire de Claas Relotius, journaliste vedette du «Spiegel» est remarquable.
En ligne de mire un nouveau métier florissant : chasseur de bobards ?
François-Marie Michaut,
CO d’Exmed 21-23 décembre 2018
Rechercher dans ce blog
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
CONTRE NATURE NATURELLEMENT La nature, il paraît, aurait horreur du… vice, S’opposant, « par nature », à ...
-
CONTRE NATURE NATURELLEMENT La nature, il paraît, aurait horreur du… vice, S’opposant, « par nature », à ...
-
Pour les peintres lambdas, les couleurs politiques, Nous posent des questions qu’il faudrait qu’on explique. Pourquoi les verts ont-ils l’im...
-
Des teintures qui, au quotidien, impliquent beaucoup plus patients et soignants que celles, à mes yeux, tellement plus subtiles qui sont...
Il y a eu le pop art.
RépondreSupprimerIci est annoncé le bob art.
A moins que le beau bar serve "à consommer avec modération" selon la stupide formule pavlovienne de tout journaliste devant la moindre bouteille !
A la notre, camarades