Hubris (*), un cousin plus agressif de la vanité, le curseur exmédien fait une pause sur cette notion oubliée de la modernité. Pour les antiques hellènes, la faute la plus grave qui puisse exister pour un humain : celui de se prendre pour un dieu. Agir comme si on était doté du pouvoir divin absolu d’un membre du panthéon de déterminer le futur.
S’affranchir du destin fixé par les dieux, chrétiennement dit : à la providence.
Effet clinique redoutable de l’oubli contemporain de la notion de sacré. À passer au scanner de la LEM 1121 : HUBRIS, HUBRIS ! de Jacques Grieu, et... regarder autour de soi avec un oeil neuf.
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(*) Orthographe choisie ici plutôt qu’hybris., Le son prononcé en grec nous égare. Le y ( notre i grec) n’est pas un i (iota) mais bien un u (upsilon) qui se dit... i !
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François-Marie Michaut 27-28 mai 2019
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