Ce serait chaque année presque l’équivalent de la population de la Bulgarie qui disparaitrait de la planète à cause de la pollution de notre si mince ( 800 km) et si fragile pellicule atmosphérique. L’OMS parle de 7 millions de morts ( Le Monde du 29 octobre 2019). Nos esprits commencent à s’ouvrir à la nécessité d’une conscience écologique ; le fameux réchauffement climatique ou la disparition d’espèces animales emblématiques ne doivent pas servir d’alibi pour contourner le plus urgent.
Sans air, aucune vie animale terrestre ne peut tenir plus de quelques minutes.
Oui, ce sont nos modes de vie bien ancrés, nos habitudes de consommation exponentielle, notre paresse à songer aux conséquences de nos actes sur notre avenir à tous qui sont en question.
Sinon, aucune législation, aucune réglementation, aucune taxation ne peut être suffisante pour respirer un air sain. L’action politique à elle seule est impuissante quand elle ne facilite pas la mise en oeuvre des choix effectués par les populations actives elles-mêmes.
François-Marie Michaut,
CO d’Exmed 31 octobre- 4 novembre 2018
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On instaure un droit pour toute chose.
RépondreSupprimerJamais entendu parler encore du droit de respirer un air non pollué. L'ONU et sa branche l'OMS ne peuvent-ils rien dire ?
Madame Buzyn est-elle aphone ou en apnée permanente ?