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18 octobre 2017

Enceinte ?
 (Exmed)

  

Enceinte ?
 


    Vers un code de la grossesse, c’est ce que suggère le lancement d’un balisage spécifique des produits vendus en pharmacie. Même signalétique avec un triangle d’avertissement d’un danger potentiel et un cercle entouré de rouge pour une interdiction.
Acheter un produit, y compris purement cosmétique, chez un pharmacien est pour beaucoup un gage de sécurité. Cette confiance, déjà ébranlée par de multiples « scandales sanitaires » et des campagnes d’opinion intensives sur les réseaux sociaux, en prend encore un coup.

   

   La prise de conscience des effets toxiques de multiples produits fabriqués par l’industrie chimique : engrais, pesticides, carburants, matières synthétiques, produits de nettoyage , additifs alimentaires , explosifs est en cours. Les produits pharmaceutiques et dits de confort ont la même origine, même quand ils claironnent les miracles qu’ils font sur notre santé, notre beauté, notre bonheur. 

   

   Et puis, entre nous, par quel miracle ce qui est nuisible pour l’embryon ou le foetus, par exemple les perturbateurs endocriniens, deviendrait-il sans aucune conséquence tout au long de la  vie ?                                 
À quand les panneaux : Vie = danger ?

Dr F-M Michaut , CO d’Exmed 18-19 octobre 2017

8 commentaires:

  1. Catéchisons nos filles dès leurs premières règles.
    Le désir d'enfant fondra. Les comptes de la sécu et des caisses de retraite enfin rétablis.

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  2. Si ce que vous dites est que ce qui est mauvais pour le foetus est mauvais également pour la mère, alors je vous suis. Sauf que la mère est assez grande pour décider de prendre le risque ou non, alors que le foetus, lui, ne peut rien décider pour lui. Si en revanche, ce que vous dites, c'est que la vie c'est mortel de toute façon et que ce n'est pas la peine de protéger les enfants contre les risques puisqu'une fois grands ils y auront droit de toute façon, comment dire, là...C'est un peu plus compliqué.
    Mon point de vue, c'est que la prise de conscience de la dangerosité, sur l'enfant non encore né, des produits que nous consommons sans trop y regarder, devrait nous faire réfléchir sur les effets que ça nous fait à nous, tous les autres, adultes, hommes, femmes, enceintes ou pas enceintes. Parce qu'après tout, comme disait l'autre, nous aussi, nous le valons bien.
    Pourquoi nous traitons-nous plus mal que nous ne traitons les foetus ? Pourquoi acceptons-nous pour nous des choses que nous n'acceptons pas pour nos enfants ? Nous aimons-nous moins ? Avons-nous moins de respect pour notre santé que pour la leur ? Considérons-nous que nous sommes de toute façon déjà tellement abîmés par nos choix de vie que, un peu plus ou un peu moins, ce n'est pas ça qui fera une grosse différence ? Ou n'est-ce pas plutôt que ce n'est que quand ça concerne des enfants qui sont littéralement sans moyen de défense, ENFIN, nous arrachons notre tête du sable et prenons nos responsabilités en regardant en face toutes les cochonneries que nous mettons dans, sur et autour de notre corps et qui nous empoisonnent petit à petit ?

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  3. J'aime beaucoup votre façon de répondre en posant vous-même des questions. Ce qu'on nous a été interdit - de fait- dans le carcan autoritaire de l'école (cf LEM 1037 www.exmed/archives17/circu1037.html La dictature de l'éducation nationale ) .
    Alors quand vous dites : " ENFIN, nous arrachons notre tête du sable et prenons nos responsabilités en regardant en face toutes les cochonneries que nous mettons dans, sur et autour de notre corps et qui nous empoisonnent petit à petit", je fais sauter votre point d'interrogation comme un bouchon de champagne en me disant : C'est comme avec Free, Caroline a tout compris.

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  4. ERRATUM : Il fallait lire en deuxième phrase,
    Ce qui nous a été imposé - et non mon impigeable Ce qu'on a été.
    ___________________________________________________________________

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  5. J'aime beaucoup votre façon de me prendre pour une conne parce que j'ai dit clairement ce que vous vous êtes contenté de suggérer dans un flou plus ou moins artistique destiné à ceux qui vous lisent tellement souvent qu'ils vous entendent probablement à demi ou à quart de mot. Voyez-vous, parfois, lorsque vous voulez être compris de gens qui ne vous connaissent pas, il ne faut pas se satisfaire de laisser entendre "voyez c'que j'veux dire ?", ben non, faut l'dire. Le problème, peut-être, quand on dit les choses, c'est qu'ensuite il faut les assumer.

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  6. Voici comment j'entends votre commentaire, avec le risque (assumé) de ne pas avoir tout compris,ou de le déformer.
    Mes propos ne vont pas assez loin, comme si je laissais à chaque lecteur le soin d'en tirer sa propre conclusion. C'est exact. Je suis persuadé que tenter d'imposer ma façon de voir à qui que ce soit et sur quoi que ce soit n'a strictement aucun intérêt. Je suis tellement allergique à tous ces gens que disent du haut de leur tribune "ce-qu'il-faut-penser-de" et à toute forme de ces pseudo-communautés dont "l'entre-nous" est l'ADN ! Je prends bien garde à n'être chef de rien du tout.
    Finalement, ce vieux coquin de Socrate avec ses 2500 ans d'âge, n'avait pas d'autre méthode pour enseigner. J'espère ne pas finir condamné à mort comme lui.

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  7. Ce n'est pas que vos propos ne vont pas assez loin : c'est qu'ils ne sont pas assez clairs. On n'arrive pas à savoir ce que vous en pensez, vous, quelle est votre opinion, personnellement. Donner son propre avis ne revient pas à imposer son avis à qui que ce soit d'autre. On a toujours le droit de dire ce que l'on pense sans imposer sa façon de penser à autrui. C'est à autrui de dire "Je ne pense pas comme vous". Donc, quand on vous lit, on est un peu obligé de deviner ce que vous en pensez, au risque d'être à côté de la plaque, sans savoir vraiment si on est d'accord avec vous ou pas, puisqu'on ne sait pas ce que vous en pensez, donc on avance à tâtons, à l'aveuglette. C'est très déroutant.

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