Confraternité, quesaco ?
Le code de déontologie médicale en France a conservé, dans ses règles s’imposant à tous, la notion de confraternité. De quoi s’agit-il en vérité ?
- Organiser une loi du silence sur le modèle des sociétés secrètes ou des mafias ?
- Laisser croire que chez nous tout le monde se comporte de la même façon, et pire encore, partage les mêmes manières de juger les choses et les gens ?
- Museler les tentatives de sortir des clous de l’habitude et du consensus des esprits des fortes têtes et autres illuminés d’entre nous ?
- Faire en sorte qu’il ne puisse y avoir aucun débat d’idées en dehors des sociétés savantes et autres organismes de recherche ?
- Qu’on s’interdit d’attaquer les personnes en cas de divergence d’idée ?
Difficile de le savoir. Si Paris valait bien une messe pour Henri IV, la médecine de 2018 mériterait bien que soit contradictoirement défini ce que confraternité veut dire.
Vous avez oublié :
RépondreSupprimer- Protéger les violeurs
- Faire partie d'une police médicale
Et j'en oublie.
Il serait intéressant que les internautes, lecteurs de votre blog, apporte leurs "pierres à l'édifice" de la définition.
RépondreSupprimerDes conclusions bidonnées dans un expertise médicale judiciaire, est-ce de la confraternité ?
Un effort, on dévisse en deux le mot confraternité.
RépondreSupprimer- Fraternité.
Bel idéal avec la liberté et l'égalité. Réalité moins reluisante depuis la première de Caen et Abel. Et ça n'a jamais arrêté les frères ennemis, ou pire encore les frères indifférents.
- Con.
Pas intelligent, on passe vite. Laissons de côté aussi le point com, quoi que... Pour garder avec, un soupçon de quelque ensemble dont on fait partie .
Pas solide, solide, tout ça pour établir quelque règle que ce soit !